Bien qu'il se soit rattaché à l'école naturaliste, son œuvre mêle la fantaisie à la peinture réaliste de la vie quotidienne. Il est l'auteur de romans (le Petit Chose, 1868 ; Tartarin de Tarascon, 1872), mais surtout de contes et de nouvelles : les Lettres de mon moulin (1866), récits tendres et malicieux (la Chèvre de M. Seguin, les Trois Messes basses, l'Arlésienne), qui ont presque tous pour cadre la Provence, et les Contes du lundi (1873), inspirés par la guerre de 1870.