Devenu le chef des catholiques libéraux, il siège à partir de 1835 à la Chambre des pairs et y défend la liberté de l'enseignement secondaire. Député sous la IIe République, il soutient l'adoption de la loi Falloux (1850). Favorable au coup d'État du 2 décembre 1851, membre de la Chambre des députés (le Corps législatif) de 1852 à 1857, il s'oppose rapidement au despotisme impérial.
