Élu par la volonté d'Henri III, il lutta pour la réforme des mœurs ecclésiastiques et défendit la suprématie pontificale. La fin de son règne fut marquée par le désastre de ses armées face aux Normands (1053) et par la consommation du schisme d'Orient, dans un affrontement décisif avec le patriarche Michel Keroularios (1053-54).