Les tableaux, au dessin naïf, de cet autodidacte sont d'une invention poétique étrange et d'une grande sûreté plastique (la Guerre ou la Chevauchée de la discorde [1894, MNAM], la Charmeuse de serpents [1907, musée d'Orsay], le Rêve [1910, New York]). Apollinaire, Delaunay, Picasso reconnurent ses dons.