Elle opposa aux forces de l'ordre les ligues de droite et les associations d'anciens combattants, hostiles à un régime parlementaire affaibli par les scandales et l'instabilité ministérielle. L'émeute (20 morts et 2 000 blessés) entraîna la chute du gouvernement Daladier et encouragea la gauche à s'unir.