Veuve en 1525 de Charles IV, duc d'Alençon, elle épousa en 1527 Henri d'Albret, roi de Navarre. Elle protégea les protestants et fit de sa cour un foyer d'humanisme, où trouva refuge Clément Marot. Elle a laissé un recueil de nouvelles (l'Heptaméron) et des poésies (les Marguerites de la Marguerite des princesses), mêlant réalisme pittoresque et spiritualisme mystique.