Son œuvre marque à la fois un sommet de l'école paysagiste hollandaise et le dépassement de celle-ci par la force d'une vision dramatique ou lyrique qui préfigure le romantisme (le Cimetière juif, versions de Dresde et de Détroit ; le Coup de soleil, Louvre).
Il était le neveu d'un autre paysagiste, Salomon Van Ruysdael (Naarden v. 1600 - Haarlem 1670).