Hostile au despotisme, il rédigea cependant l'Acte additionnel lors des Cent-Jours (1815), siégea dans les rangs de l'opposition libérale sous la Restauration et se rallia au duc d'Orléans en 1830. Il est surtout connu pour son roman psychologique Adolphe, mais sa contribution à la pensée politique libérale fut également très importante, bien que sous-estimée (De l'esprit de conquête et de l'usurpation, 1813 ; De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes, 1819...).
