Due au hasard, sa découverte, en 1940, révéla l'un des ensembles d'art pariétal les plus remarquables du paléolithique supérieur, réalisé v. − 15000 av. J.-C. Ses parois sont ornées d'animaux cernés d'un large trait noir, associés à des signes symboliques dont le sens est encore incertain. Afin d'enrayer sa dégradation, la grotte, fermée au public depuis 1963, a été l'objet de traitements chimiques qui l'ont protégée. À proximité, le Centre international de l'art pariétal, comprenant la reproduction intégrale de la grotte, est accessible aux visiteurs depuis décembre 2016.