Marqué par la Première Guerre mondiale (Ceux de 14), il s'est fait le chantre de la forêt solognote (Raboliot, 1925). Apôtre de l'instinct animal, il a retrouvé dans l'enfance l'innocence qui, chez les bêtes, le fascinait (Tendre Bestiaire, 1969). Ses cendres ont été transférées au Panthéon en 2020.