Ses récits romanesques (Au château d'Argol, 1938 ; le Rivage des Syrtes, 1951 ; Un balcon en forêt, 1958), marqués par le surréalisme, explorent les correspondances entre le rêve et le réel, tout en évoquant, à travers des situations quotidiennes ou symboliques, l'attente et l'angoisse humaines.