Il est passé du désenchantement de la « génération perdue » à une glorification de la force morale de l'homme, qui se mesure au monde et aux êtres dans un corps à corps solitaire (Le soleil se lève aussi, 1926 ; l'Adieu aux armes, 1929 ; Pour qui sonne le glas, 1940 ; le Vieil Homme et la mer, 1952). [Prix Nobel 1954.]