Neveu de Corneille, il se fit une réputation de bel esprit et dut sa célébrité à ses traités de vulgarisation scientifique (Entretiens sur la pluralité des mondes, 1686). Dans sa Digression sur les Anciens et les Modernes (1688), il soutint la thèse du progrès continu contre les partisans des Anciens.