Formé au Danemark par son père Antoine Bournonville et par Galeotti, puis à Paris par Vestris et Gardel, il donne, dans la plus pure tradition française, un nouvel essor au ballet danois. Le Ballet royal du Danemark n'a cessé de maintenir à son répertoire, dans leur chorégraphie d'origine, la plupart de ses ballets, dont sa version de la Sylphide (1836), Napoli (1842) et la Kermesse à Bruges (1851).