Selon Flavius Josèphe, il fut lapidé vers 62. On doit le distinguer du second apôtre Jacques, fils d'Alphée. L'épître « catholique » qui lui est attribuée est un écrit anonyme de la fin du Ier s., imprégné des idées judéo-chrétiennes dont la communauté de Jérusalem était le foyer.