Son œuvre constitue une somme capitale de la pensée musulmane. Il rejette certaines philosophies grecques qui supposaient l'éternité du monde et donc sa non-création ; mais il ne refuse pas toute philosophie : par exemple, il donne au doute une valeur positive dans la recherche de Dieu et accorde à l'intuition une valeur supérieure à celle de l'intelligence rationnelle. Son principal ouvrage est Reviviscence des sciences de la religion.