En quête de « valeurs vraies », il dénonça dans ses romans (les Racines du ciel, 1956 ; les Cerfs-volants, 1980) les mensonges du monde moderne. L'obsession de la vieillesse et l'impossible quête de son identité le conduisirent au suicide après s'être inventé un double littéraire, Émile Ajar (la Vie devant soi, 1975).