À la Comédie-Française, comme dans la compagnie qu'il fonda (1946) avec Madeleine Renaud, son épouse, il a monté et interprété des œuvres aussi bien modernes (Claudel, Beckett, Genet) que classiques (Molière, Tchekhov), recherchant un langage dramatique de plus en plus « corporel », dans la lignée d'Artaud. Au cinéma, il s'est imposé dans Drôle de drame (1937) et les Enfants du paradis (1945).