Son théâtre passe du réalisme (Anna Christie, 1922 ; le Désir sous les ormes, 1924) à une vision poétique de l'effort humain pour s'intégrer au monde (l'Empereur Jones, 1920) et de la lutte d'êtres d'exception contre la fatalité (Le deuil sied à Électre, 1931). [Prix Nobel 1936.]