Dès son premier film les Amants de la nuit (1949), il se révèle par son romantisme fiévreux, son goût de la révolte. On lui doit aussi : les Indomptables (1952), Johnny Guitare (1954), la Fureur de vivre (1955), Derrière le miroir (1956), la Forêt interdite (1958), Traquenard (1958).