Par son élégance de dandy, ses articles féroces, ses duels, il se composa un personnage de « connétable des lettres », avant de professer un catholicisme intransigeant. Ses romans (le Chevalier Des Touches, 1864 ; Un prêtre marié, 1865) et ses nouvelles (les Diaboliques, 1874) dessinent un univers mélodramatique où la fascination de Satan paraît le meilleur chemin de la découverte de Dieu.