Son talent s'est exprimé dans des poèmes, des romans (les Enfants terribles, 1929), des drames (les Parents terribles, 1938), des films (le Sang d'un poète, 1931 ; la Belle et la Bête, 1946 ; Orphée, 1950) ainsi que dans de nombreux dessins. Sa vie de virtuose et d'esthète apparaît comme la réponse à l'exhortation que lui avait adressée Diaghilev : « Étonne-moi. »