Ses toiles et surtout ses sculptures (à partir de 1885) constituent une sorte d'épopée naturaliste de l'homme au travail, souffrant, esclave ou révolté. L'univers de la Belgique industrielle lui a fourni les thèmes réalistes dont il a donné une synthèse, tant plastique que symbolique, avec son Monument au Travail, inauguré à Bruxelles bien après sa mort.